Sand storm in Byron Bay

On a essuyé une sacré tempête de sable aujourd'hui. Mais rien à côté de ce que s'est pris Sydney, ou encore pire, Broken Hill (qui sont situé près du désert d'où sont issus ces tempêtes, et s'en prennent plein les bronches à chaque fois !).





Ca a mis plus de temps pour nous tomber dessus : j'entre en cours à 10h, ciel limpide. On sort faire une pause à 11:30... ciel bien ocre, et goût de sandwich tombé dans le sable sur les papilles gustatives.

Photos prises à Sydney (80 km au sud) le même jour:
photos : REUTERS/Tim Wimborne


Plus tard (12:15)

Plus tôt le matin (6:00).

Cela faisait 70 ans que cela ne s'était pas produit. La plupart des journalistes ont commenté que c'est le genre de truc qui n'arrive qu'une fois par génération.

Fait "amusant"... une semaine plus tard, rebelotte, mais à plus petite échelle. Tout de même, de nouveau une belle couche de poussière dans toute la baraque.

Trees, trees, trees, ... stringray, and trees !

Youpi ! C'est le printemps.

Non pas que les couleurs soient moches en "hiver", loin de là. Mais j'aimerais tant avoir un bougainvilliers (ça prend un 's' au singulier, comme Versailles ?) comme celui-ci. Je n'ai absolument pas trafiqué les couleurs, mais faut être devant : ça ne rend pas aussi bien qu'en vrai. Jamais vu un rouge/mauve aussi profond.



Quand à ces arbres jaunes, je ne sais pas ce que c'est. Ils servent d'entrée flamboyante à une des propriétés qui longe la Pacific Highway (réduite à une voie sur cette portion !) en direction de Ballina.



J'ai enfin pu approcher une grosse raie de près. La visibilité dimanche dernier n'était que de 5 m, mais ça a l'avantage que les poissons non plus ne voient pas très bien, et sont moins farouches.



Elle devait bien faire 2m d'envergure.